Maxime Maillard

Maxime Maillard est né en 1982 en Suisse. Diplômé en sociologie et en littérature, il travaille pour la presse culturelle et a déjà publié un roman remarqué, Monsieur vitesses (Éditions d’autre part, 2014).

Extraits de presse

Traduire, une musique dans Le Courrier

«C’est un petit bijou, un livre d’entretiens ­lumineux, un exercice d’hospitalité réussi: sous la forme d’un long dialogue, La Faille du Bosphore propose une immersion aussi passionnante que bouleversante dans le ­travail d’écriture et de traduction de Rosie Pinhas-­Delpuech.» – Anne Pitteloud

Traduire, les secrets d’un artisanat dans Le Temps

«Elle compare son travail à celui du cordonnier qui se livre, jour après jour, à un savant artisanat. Rosie Pinhas-Delpuech fait passer, depuis 1988, des textes de l’hébreu au français. Elle ne s’attache pas seulement au sens des mots, comme le ferait un traducteur automatique, mais à leur rythme. "Le monde est matière, les mots et les choses sont de la matière", rappelle-t-elle. Il faut, à travers eux, "faire couler de l’affect"». – Julien Burri

Rosie Pinhas-Delpuech, traduire comme on écrit dans Le blog de Mireille Descombes

«Les chapitres les plus intéressants de La faille du Bosphore concernent directement la traduction. Un monde que l’on connaît peu, ou mal, et dans les coulisses duquel Rosie Pinhas-Delpuech nous convie avec sa générosité coutumière. "Dans ma manière de traduire, il y a de la pensée, de la réflexion qui n’est pas discursive, explique-t-elle, c’est-à-dire qui n’est pas produite en aplomb, mais qui se déploie pendant que je fabrique le texte." Oui, "fabrique", car pour Rosie Pinhas-Delpuech traduire est "quelque chose d’agissant", une place privilégiée qui permet de mieux comprendre comment "c’est fait", comment le sens s’agence à l’intérieur et entre les mots, comme dans une partition musicale.» – Mireille Descombes

Rapporter, oui, mais non sans émotion dans LivreSuisse Magazine n°4

«un petit objet ouvert à l'imaginaire du lecteur, qui procède par touches, de découvertes en amours, mais aussi en questionnements, avec une réelle sensibilité» – Elisa Clerc

Tamam dans Libération

À la rencontre d’un pays pour se trouver soi-même, double quête à laquelle répond peut-être le titre (qui signifie "je t'ai compris"), Tamam touche par ses considérations ethnologiques précises portées par une langue d'une grand élégance – N.A.

Dire oui à la rencontre dans Le Courrier, par Anne Pitteloud

Dans Tamam, Maxime Maillard met en lien un voyage dans une Turquie en mutation et le mystère d’un amour naissant.

Tamam de Maxime Maillard dans Paludes - Radio Campus Lille

Lecture et présentation de l'ouvrage par Nikola Delescluse dans l'émission Paludes vendredi 30 septembre

Chronique d'un amour en Turquie dans La Côte

Un ouvrage à l’écriture lumineuse, qui entraîne le lecteur vers une terre de contrastes, entre des stations balnéaires où règne une certaine légèreté et des villes plus étriquées. La Turquie vue de l’intérieur, loin des cartes postales. – MCF

Connexion

Mot de passe perdu ?

Créer un compte