
Le petit cheval tatar
Corinne Desarzens
Le petit cheval tatar ne parle ni de chevaux, ni de Tatars...
CHF 26.50 / € 19
Le petit cheval tatar ne parle ni de chevaux, ni de Tatars, mais il regarde bien au fond de l’œil, si profond qu’arrivent alors des histoires ophtalmologiques de l’Antiquité à nos jours, la déficience visuelle des peintres impressionnistes, la réticence de certains grands conquérants à se faire portraiturer munis de lunettes, la nécessité de déguster une fois au moins un œil de mouton, l’évocation magique des dessins médicaux et la folie qui guette Drogo, dans Le Désert des Tartares, en haut de sa citadelle à trop attendre d’enfin voir quelque chose passer.
Et, à l’instar des opérations fines du chirurgien rétinien Daviel, comme en incisions dans le texte, apparaît l’homme à la veste rouge qui joue à cache-cache avec la narratrice.
Ce texte nous emmène dans un voyage particulier autour du globe oculaire, comme Ella Maillart choisissait des chemins de traverse pour mieux phénoménaliser le monde.
Desarzens à l’œil nu dans La Liberté
«La myopie aussi est un art de voir. Dans Le petit cheval tatar, l’écrivaine vaudoise propose une formidable cavalcade autour du globe (oculaire) [...] Lire alors est une expérience. Éblouissante, car son style est incomparable, positivement le plus reluisant de notre littérature suisse contemporaine.» – Thierry Raboud
fiche de presse: Le petit cheval tatar
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Titre | Le petit cheval tatar |
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Auteur | Corinne Desarzens |
Date de parution | 07/02/2025 |
Format | 14 x 21 cm |
Nombre de pages | 160 |
ISBN | 9782889601615 |

Née à Sète en 1952, d’abord journaliste, parfois traductrice, auteure de romans, nouvelles et récits de voyage, Corinne Desarzens est passionnée par l’art d'intercepter les conversations, d’apparaître et de disparaître.
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