Confession téméraire
Anita Pittoni
Traduit de l’italien par Marie Périer et Valérie Barranger. Avec deux illustrations d’Ugo Pierri.
Anita Pittoni (Trieste, 1901-1982) est un personnage mythique du monde artistique et littéraire italien du XXe siècle. Jeune créatrice de mode audacieuse dans les années précédant la Seconde Guerre mondiale, sa trajectoire s’oriente dès 1950 vers la littérature quand elle publie son premier recueil de proses poétiques, Les Saisons. Les récits plus tardifs de Promenade sous les armes (1971) forment avec Les Saisons cette Confession téméraire. Deux témoignages inestimables et poignants sur ses amis Umberto Saba et Roberto Bazlen viennent clôturer ce livre intimiste.
«La patrie, c’est la terre où l’on parle sa langue, puis c’est la région où l’on est, puis c’est la ville où l’on est né, puis c’est la maison où l’on vit, puis c’est la pièce où l’on travaille, qui est la plus grande de nos patries, que l’on transporte avec nous dans le monde entier, l’endroit où l’on élit sa patrie: la pièce la plus tranquille, où l’on travaille le mieux.» (Manifeste du Zibaldone)
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Anita Pittoni (Trieste, 1901-1982) est un personnage mythique du monde artistique et littéraire italien du XXe siècle. Jeune créatrice de mode audacieuse dans les années précédant la Seconde Guerre mondiale, sa trajectoire s’oriente dès 1950 vers la littérature quand elle publie son premier recueil de proses poétiques, Les Saisons. Les récits plus tardifs de Promenade sous les armes (1971) forment avec Les Saisons cette Confession téméraire. Deux témoignages inestimables et poignants sur ses amis Umberto Saba et Roberto Bazlen viennent clôturer ce livre intimiste.
«La patrie, c’est la terre où l’on parle sa langue, puis c’est la région où l’on est, puis c’est la ville où l’on est né, puis c’est la maison où l’on vit, puis c’est la pièce où l’on travaille, qui est la plus grande de nos patries, que l’on transporte avec nous dans le monde entier, l’endroit où l’on élit sa patrie: la pièce la plus tranquille, où l’on travaille le mieux.» (Manifeste du Zibaldone)
- La recommandation buissonière de Sophie Pujas dans Le Point, 11 juillet 2019: «Ce qui fait le charme de ces textes brefs et fulgurants? Pittoni capture par petites touches la sensualité du monde, mais aussi l'étrangeté d'être soi. Elle se scrute sans complaisance. Elle égrène de fragiles moments de grâce, comme l'attente d'un homme ou une promenade improvisée, contre les tentations persistantes de la mélancolie. Ces rêveries intimes sont un bonheur de lecture.»
- Le bel hommage de Lisbeth Koutchoumoff dans Le Temps, 14 juin 2019.
- L'article dans Le Vif/L'Express, 5 juin 2019.
- Nathalie de Courson fait l'éloge de la langue de Pittoni pour La Cause Littéraire, 4 juin 2019.
- Article de Frédérique Fanchette sur Anita Pittoni et Roberto Bazlen, «Les dits de Trieste» dans Libération, 31 mai 2019.
- Article élogieux de Caroline de Un dernier livre avant la fin du monde, 27 mai 2019.
- Pietro Spirito signe un article dans Il Piccolo, de Trieste, 20 mai 2019.
- Un très bel article, signé Gérard Lefort, dans Les Inrockuptibles, 17 mai 2019.
- La superbe chronique de La viduité, mai 2019.
- Coup de cœur de l'excellente librairie Tropismes, à Bruxelles, mai 2019: «Née à Trieste en 1901, Anita Pittoni aura été une des figures artistiques et intellectuelles marquantes de son époque... Il était grand temps que la nôtre, ici, fasse enfin sa connaissance. Un journal, des poèmes, des lettres, beaucoup de lettres, des nouvelles surtout, étonnantes, franches et farouches. Elle y use comme personne des rêves et des ambivalences, ne recule devant aucune étrangeté si celle-ci peut la rapprocher des hasards qui la portent. On reste ébranlé... Il fallait un autre écrivain-éditeur, le téméraire Samuel Brussell, suivi, à Genève, par les Éditions La Baconnière et la belle traduction de Marie Périer et Valérie Barranger pour qu'un peu de cet air triestin si particulier arrive jusqu'à nos sens. Merci.»
Titre | Confession téméraire |
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Auteur | Anita Pittoni |
Traducteur | Traduit de l’italien par Marie Périer et Valérie Barranger. Avec deux illustrations d’Ugo Pierri. |
Date de parution | 10/05/2019 |
Nombre de pages | 216 |
ISBN | 978-2-889600-04-5 |
Anita Pittoni (Trieste, 1901-1982) fut une créatrice de mode audacieuse et reconnue dans les années précédant la Seconde Guerre mondiale; sa trajectoire s’oriente dès 1950 vers la littérature quand elle publie son premier recueil de proses poétiques, Les Saisons.